Éditorial du New York Times, par le comité de rédaction.
mercredi 3 décembre 2025
Cas d'étude sur la Manipulation
Le secrétaire à la Défense Hegseth semble être un criminel de guerre.
Revue de presse, 2 décembre, - 15 -
dimanche 30 novembre 2025
The "best" computer for Linux
The "best" computer for Linux depends heavily on your **budget, use case, and personal preferences**.
The good news is that Linux runs on a vast range of hardware, often much better than Windows. Here’s a breakdown to help you decide.
### The Golden Rule: Hardware Compatibility
The single most important factor is **hardware compatibility**, specifically:
* **Wi-Fi & Bluetooth:** Avoid Broadcom chipsets if possible. Intel and Qualcomm Atheros chipsets generally have the best, hassle-free support.
* **Graphics (GPU):**
* **Intel Integrated Graphics:** Flawless support. The easiest and most reliable option.
* **AMD Graphics (Radeon):** Excellent support. The open-source `amdgpu` driver is built into the Linux kernel and works brilliantly out-of-the-box.
* **NVIDIA Graphics:** **Potentially problematic.** While NVIDIA offers powerful proprietary drivers, they can sometimes cause issues with suspend/resume, screen tearing, or complications with Wayland. They are workable but require more tinkering.
* **Specialized Hardware:** Fingerprint readers, advanced touchpad gestures, and proprietary RGB lighting control can be hit-or-miss. Assume they might not work.
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### Top Recommendations by Category
Here are the best choices for different types of users.
#### 1. For the Best Out-of-the-Box Experience: Dell XPS & Lenovo ThinkPad
These two lines are legendary in the Linux community for their excellent compatibility and even official support.
* **Dell XPS 13/15 (especially the Developer Edition):**
* **Why it's great:** Dell actually sells a "Developer Edition" of the XPS 13 with Ubuntu pre-installed. This means every component is certified to work perfectly. Even the Windows models are almost identical and have fantastic compatibility.
* **Best for:** Developers, professionals, and anyone who wants a premium, no-hassle Linux laptop.
* **Lenovo ThinkPad (T-series, X-series, P-series):**
* **Why it's great:** ThinkPads are the workhorses of the Linux world. They are built like tanks, have fantastic keyboards, and have a long history of impeccable Linux compatibility. Lenovo also certifies many models for Ubuntu and Fedora.
* **Best for:** Programmers, sysadmins, students, and anyone who values durability and a great typing experience. The **ThinkPad T14** or **X1 Carbon** are classic choices.
#### 2. For the Budget-Conscious User: Refurbished Business Laptops
This is arguably the **best value for money**.
* **Refurbished Lenovo ThinkPad (T480, T490, X280, etc.):**
* You can find these for a fraction of their original price. They are built to a higher standard than most new consumer-grade laptops and are fully compatible with Linux.
* **Dell Latitude Series:**
* Similar to ThinkPads, Dell's business Latitude line is robust and well-supported.
#### 3. For Building Your Own Desktop PC
This gives you the most control to ensure 100% compatibility.
* **CPU:** Both Intel and AMD Ryzen are excellent choices.
* **Motherboard:** Stick with major brands (ASUS, Gigabyte, MSI, ASRock). Most work fine.
* **GPU:** **Choose AMD.** An AMD Radeon graphics card will give you a seamless, out-of-the-box experience with the open-source drivers. It's the path of least resistance.
* **Wi-Fi:** Get a motherboard with an **Intel Wi-Fi card** or buy a separate one. Avoid Killer Networking cards.
#### 4. For Apple Users: MacBook Pro (with a caveat)
* **Older Intel-based MacBook Pros (pre-2020):** Linux runs fairly well on these, but you may face challenges with the T2 security chip (affecting audio and the keyboard/touchpad during install) and the custom Apple hardware.
* **Newer Apple Silicon (M1/M2/M3):** **Not recommended for beginners.** The project [Asahi Linux](https://asahilinux.org/) is doing incredible work to port Linux to Apple Silicon, and it's now very usable for a desktop, but it's still an alpha-level project and requires technical expertise to install and use.
#### 5. For the Purist: Linux-First Hardware Vendors
These companies sell laptops and desktops with Linux pre-installed, guaranteeing a perfect experience.
* **System76 (USA):** They build their own hardware and create the Pop!\_OS distribution. Excellent support and quality.
* **Tuxedo Computers (Germany):** A wide range of powerful, customizable laptops and desktops with their own Tuxedo OS (based on Ubuntu).
* **Framework Laptop:** The modular, repairable laptop. They have excellent Linux support, and it's a fantastic choice for tinkerers and eco-conscious users.
* **Juno Computers (UK):** Another great vendor offering laptops with Linux pre-installed.
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### What to Avoid or Be Cautious Of
1. **NVIDIA Optimus (Laptops with both Intel & NVIDIA GPUs):** While support has improved (e.g., with Pop!\_OS's built-in handling), it can still be a source of headaches compared to a single-GPU system.
2. **Cutting-Edge, Exotic Hardware:** Brand new, just-released hardware might not have kernel support yet. It can take a few months for support to mature.
3. **Very Cheap, No-Name Laptops:** They often use the cheapest, most proprietary components with no Linux driver support.
### Quick Summary & Final Advice
| Your Profile | Best Recommendation |
| :--- | :--- |
| **No Fuss, Premium Experience** | **Dell XPS 13/15** or **Lenovo ThinkPad X1 Carbon** |
| **Best Value / On a Budget** | **Refurbished Lenovo ThinkPad** (T480, etc.) |
| **Building a Desktop** | **AMD CPU + AMD GPU + Intel Wi-Fi** |
| **Supporting the Linux Ecosystem** | **System76**, **Tuxedo**, or **Framework** |
**Final Tip:** Before you buy any laptop, do a quick search for "`<laptop model> Linux`" or "`<laptop model> Ubuntu`" to see forum posts and reviews about people's experiences. This is the best way to catch any potential deal-breaking issues.
Happy computing
vendredi 28 novembre 2025
L’hypothèse de la simulation n’est pas viable.
Voici trois manières simples et accessibles de saisir le sens de cet argument :
1. L’analogie du littoral (La carte n’est pas le territoire)
Notre erreur la plus fondamentale est de confondre la description avec l’objet.
• Le concept : Imaginez une carte d’une île. Une ligne noire irrégulière y représente le littoral. Le littoral réel ne se réfère pas à cette carte pour déterminer où l’eau doit s’arrêter. La carte est une esquisse statique et simplifiée ; le littoral est une réalité physique, humide et mouvante.
• L’argument : Dire que l’univers « obéit » aux mathématiques revient à dire que l’océan obéit au tracé d’une carte. Les équations mathématiques ne sont que « l’encre » que les humains utilisent pour appréhender la réalité. La réalité est le territoire ; les mathématiques ne sont que l’outil qui nous permet de nous y repérer.
———
2. L’orbite contre l’algorithme (Existence contre calcul)
Ce point remet directement en question la « théorie de la simulation » en distinguant l’action de l’être. • Le concept : Lorsqu'une planète orbite autour d'une étoile, elle n'exécute pas un programme informatique. Elle ne s'arrête pas pour calculer une dérivée ou résoudre une équation différentielle avant de passer à la position suivante.
• L'argument : La planète se déplace simplement dans l'espace géométrique réel. La théorie de la simulation suppose que l'univers est un « code exécutable » (un calcul discret), alors que l'univers est continu. Affirmer que l'univers est une simulation parce qu'il correspond à nos algorithmes revient à affirmer qu'un arbre est fait d'encre simplement parce qu'on l'a dessiné. L'univers ne calcule pas son prochain mouvement ; il existe, tout simplement.
——— 3. La preuve par « patchwork » (Les modèles sont erronés, la réalité est un tout)
Si l'univers était fait de mathématiques, nos mathématiques s'y adapteraient parfaitement. Or, nos mathématiques sont constamment en train de se briser.
• Le concept : La physique newtonienne fonctionnait parfaitement jusqu'à ce que les choses se déplacent trop vite. Nous avons alors eu besoin de la relativité. La relativité fonctionnait parfaitement jusqu'à ce que les choses deviennent trop petites. Nous avons alors eu besoin de la mécanique quantique. Nous « rafistolons » constamment nos mathématiques pour qu'elles restent en phase avec la réalité. L’argument : Si l’univers était une structure mathématique, il serait soumis aux limites des mathématiques (comme les théorèmes d’incomplétude de Gödel). Il serait incomplet. Or, l’univers existe de manière complète et cohérente, sans qu’il soit nécessaire de le démontrer. Le fait que nous devions constamment modifier nos équations prouve que le « territoire physique » est premier et que les « mathématiques » ne sont qu’un langage secondaire et imparfait.
——— Résumé d’un point de vue parcimonieux :
Ces trois points rejoignent votre conception de la parcimonie ontologique. En rejetant l’idée que l’univers « est » des mathématiques ou « est » une simulation, nous évitons de créer une « dimension imaginaire » abstraite de code ou de lois existant hors de l’espace. Nous acceptons plutôt que les phénomènes biologiques et physiques soient autosuffisants au sein d’un espace géométrique réel, orthogonal et structuré.
Q : Pourquoi l'Univers n'« obéit » pas aux mathématiques ?
R : La carte n'est pas le territoire !
On se demande souvent : « Pourquoi l'Univers obéit-il si parfaitement aux lois mathématiques ? »
Galilée a observé que l'Univers est « écrit dans le langage des mathématiques » (Il Saggiatore). Il avait raison : les mathématiques sont le langage que nous utilisons pour lire le livre de la nature, mais nous avons commis une erreur fondamentale en confondant ce langage avec la réalité qu'il décrit.
Croire que l'Univers obéit parfaitement aux mathématiques relève d'un biais de survie. Nous nous concentrons sur les systèmes isolés où nos équations fonctionnent à merveille – comme le mouvement des planètes – et ignorons la vaste et complexe majorité de la réalité (biologie, turbulence, conscience) où les descriptions mathématiques sont approximatives, statistiques, voire inexistantes.
Croire que l'Univers est mathématique, c'est commettre une erreur de catégorie fondamentale. Comme l'a si bien dit Alfred Korzybski : « La carte n'est pas le territoire. »
Lorsqu'une planète orbite autour d'une étoile, elle ne calcule pas une dérivée ; elle se déplace simplement dans l'espace géométrique réel. L'équation n'est que la carte que nous avons tracée pour suivre son évolution. Dire que la planète « obéit » à l'équation revient à dire qu'un littoral obéit à la ligne brisée d'une carte.
C'est pourquoi le statisticien George Box nous a rappelé que « Tous les modèles sont faux, mais certains sont utiles ».
Nos lois physiques sont presque toujours des idéalisations. La physique newtonienne fonctionnait parfaitement jusqu'à ce que l'on se déplace trop vite (relativité). La relativité fonctionne parfaitement jusqu'à ce que l'on devienne trop petit (mécanique quantique). Nous ajustons constamment les mathématiques pour qu'elles correspondent à la réalité, prouvant ainsi que le domaine physique est primordial et les mathématiques secondaires.
Enfin, si l'univers était une structure mathématique, il serait soumis aux limites des mathématiques elles-mêmes. Les théorèmes d'incomplétude de Kurt Gödel ont démontré que dans tout système logique complexe, il existe des vérités qui ne peuvent être prouvées au sein de ce système. Si l'univers était mathématique, il serait incomplet.
Or, l'univers existe de manière complète et cohérente sans qu'aucune preuve ne soit nécessaire. La véritable parcimonie nous invite à cesser de contraindre l'univers à des dimensions abstraites et « imaginaires » simplement pour faire fonctionner nos équations.
L'univers n'obéit pas à nos mathématiques ; nos mathématiques ne sont qu'un langage humain qui peine à décrire l'espace géométrique réel.
——— De plus, si l'univers n'« obéit » pas strictement aux lois mathématiques, la déduction selon laquelle la réalité est une simulation numérique et algorithmique est vouée à l'échec. La théorie de la simulation repose entièrement sur l'hypothèse que la physique est un code exécutable, or le code n'est qu'un sous-ensemble rigide et discret des mathématiques — une carte que nous dessinons pour approximer le territoire. Affirmer que l'univers est une simulation parce qu'il correspond à nos algorithmes est l'erreur de catégorie ultime ; c'est comme affirmer qu'un arbre est fait d'encre simplement parce qu'on en a dessiné un dessin. L'espace géométrique réel est continu et existe sans calcul, tandis qu'une simulation est discrète et soumise aux limites strictes de la calculabilité décrites par Turing. L'univers ne calcule pas ; il est.
———
Martin Ciupa
jeudi 27 novembre 2025
Quatre chiffres importants sur l'IA
70
L’intelligence artificielle fêtera son 70e anniversaire en 2026. En effet, c’est en 1956 que la Conférence de Dartmouth établit l’intelligence artificielle comme une discipline à part entière. « Chaque aspect de l’apprentissage ou toute autre caractéristique de l’intelligence peut en principe être décrit avec une telle précision qu’il est possible de créer une machine capable de le simuler », décrit un rapport de l’UNESCO, qui cite John McCarthy, un des instigateurs de cette conférence internationale qui a rassemblé 20 chercheurs au Collège Dartmouth, situé à trois heures de route de Montréal, au New Hampshire. Le budget de la conférence s’élevait à 7500 $ US. En comparaison, en 2026, ce sont 1300 milliards de dollars américains qui seront investis en IA dans le monde, selon UBS.
945
D’ici à 2030, la consommation mondiale d’électricité des centres de données devrait passer de 415 à 945 térawattheures, selon un rapport publié en avril par l’Agence internationale de l’énergie (AIE). Au cours des cinq prochaines années, l’intelligence artificielle générative fera plus que doubler les besoins en électricité des parcs de serveurs, portant leur consommation à 3 % de la demande mondiale. Cela correspond à 1,5 fois la production totale d’électricité du Canada au cours de l’année 2023, qui était de 613 térawattheures, selon Statistique Canada. Déjà, en 2024, les centres de données consommaient 20 % de l’approvisionnement annuel en électricité de l’Irlande, et 25 % de celui de l’État de Virginie. Au Québec, on prévoit que les centres de données multiplieront leur consommation d’électricité par sept d’ici 2035.
25 %
Un emploi sur quatre (25 %) dans le monde est potentiellement exposé à l’automatisation par l’intelligence artificielle générative, selon un rapport de l’Organisation internationale du travail (OIT) publié en mai 2025. Dans les pays à revenus élevés, ce sont même 34 % des emplois qui sont susceptibles d’être automatisés. Le rapport souligne toutefois que le scénario le plus probable est que ces emplois seront transformés plutôt que supprimés. Dans les pays riches, les emplois les plus exposés à l’automatisation représentent 9,6 % de l’emploi des femmes contre 3,5 % pour les hommes. Parmi les métiers les plus hautement exposés figurent les dactylographes, les commis à la comptabilité et à la paie, les courtiers en valeurs mobilières, les analystes financiers, les vendeurs en centre d’appels et les développeurs web.
2027
À la fin de l’année 2027, les intelligences artificielles se seront améliorées au point qu’elles seront meilleures que les humains dans tous les domaines, avance Daniel Kokotajlo, ancien chercheur d’OpenAI, cité par la BBC. Il dirige l’AI Futures Project (AI-2027). Cet OBNL situé en Californie prédit des scénarios de développement de l’IA. L’année 2027 marquerait un tournant, affirme-t-il : l’IA se désintéresserait de la morale et de l’éthique. La rivalité entre les États-Unis et la Chine stimulera les investissements de part et d’autre. Au milieu des années 2030, l’IA tuerait les humains avec des armes biologiques invisibles. Gary Marcus, chercheur américain en sciences cognitives et un des principaux détracteurs d’AI2027, juge ce scénario non pas impossible, mais extrêmement improbable, précise la BBC.
mardi 18 novembre 2025
la baie d'Hudson
Dans même pas 20 000 ans, la baie d'Hudson n'existera plus. Et la baie James aura disparu bien avant cela. Qu'est-ce qui me permet de faire cette affirmation? Parce qu'il y a relèvement isostatique, bref, soulèvement de l'écorce terrestre, partout où l'inlandsis laurentidien se trouvait, surtout là où il était le plus épais et on sait qu’il atteignait jusqu'à quatre kilomètres d'altitude par endroit, le point de référence étant le niveau moyen des océans. Il s'est installé peu à peu au début de la glaciation wisconsinienne, il y a 110 000 ans et a disparu il y a 8 000 ans, dans le nord du Québec. Les terres remontent graduellement depuis qu'elles ont été libérées du poids du grand glacier nord-américain, sa masse ayant été présente pendant presque 100 000 ans. Le littoral ouest de la baie d'Hudson est considéré comme un des secteurs les plus remarquables de ce phénomène, qui se poursuit encore de nos jours au rythme de un mètre par siècle. Il est particulièrement visible dans les zones plates des basses terres de la côte. Il ne faut pas être un grand mathématicien pour faire le calcul à partir des données disponibles et tirer une conclusion. Quelle est la profondeur maximale de la mer d'Hudson? Elle a une profondeur moyenne de 128 mètres et une profondeur maximale de 259 mètres. Un mètre d'élévation du sol par siècle, ça donne en moyenne 12 800 ans et au maximum 25 900 »ans. Ceci dit, doit-on prendre en compte le poids de l'eau qu'on retrouve actuellement dans cet immense bassin pour contrecarrer l'isostasie? Il y a des fluides dans le manteau terrestre qui font davantage le poids pour ramener à son état de sphère la Terre, sa croûte, comme un bateau sur l'eau, suivant le principe d'Archimède.
Guillaume Couture
Je ne t'ai pas oublié.
Ta passion pour les mots, leur étimologie, l'art du bon français m'avaient impresionnés.
Tu es parti trop vite, avec un avenir prometteur!
samedi 15 novembre 2025
Le temps n'est peut-être pas unidimensionnel
Des scientifiques affirment que le temps n'est peut-être pas unidimensionnel !
Une nouvelle théorie suggère que le temps s'écoule dans trois directions, façonnant l'espace lui-même, et pourrait enfin unifier la relativité et la physique quantique.
Proposée par le Dr Gunther Kletetschka de l'Université d'Alaska Fairbanks, cette théorie postule que le temps possède trois dimensions, et non une seule. Selon ses recherches, l'espace n'est pas le fondement de la réalité, mais plutôt un sous-produit du temps multidimensionnel, à l'image d'une image peinte sur une toile temporelle. Le modèle suggère un univers composé de six dimensions : trois spatiales et trois temporelles.
mercredi 12 novembre 2025
jeudi 6 novembre 2025
Michel Siffre
En 1972, un scientifique français descendit dans les entrailles de la Terre… pour tester les limites de l’esprit humain.
The Man Trap
En 1966, Star Trek a présenté l'un des épisodes les plus troublants de toute sa saga : « The Man Trap », une histoire qui ressemblait à de la science-fiction, mais qui au fond parlait de la peur la plus ancienne de l'être humain : être dévoré par ce qu'il désire comprendre.
La créature de l'épisode était un être solitaire, le dernier de son espèce, condamné à se nourrir de sel humain. Capable de prendre n'importe quelle forme, elle imitait les visages, les voix et les émotions. Elle paraissait intelligente, même sensible… mais ce n'était que de la faim déguisée en empathie.
Le scientifique qui a tenté de la protéger l'a confondue avec un être rationnel, et cette erreur lui a coûté la vie. Son amour envers la bête était un avertissement sur les dangers de la compassion aveugle : celle qui tente d'humaniser ce qui en essence est instinct.
Dans la scène finale, lorsque la créature perd son déguisement et attaque le Capitaine Kirk, ce que nous voyons n'est plus un monstre, mais un miroir. Le reflet de l'impulsion primitive qui nous habite encore : le désir, la violence, l'incapacité de nous arrêter même si nous savons que nous détruisons ce que nous aimons.
The Man Trap ne parlait pas d'extraterrestres. Il parlait de nous.
mercredi 22 octobre 2025
Madeleine, ma mère
J'ai demandé à Noëlla pourquoi la détresse, la souffrance, la peur de l'abandon? Pourquoi il faut passer par ces épreuves, des difficultés de la vie qui nous sont présentés. Aimer fait mal quand on découvre que le vrai Amour a une dimension divine. Quand ce qu'on fait pour les autres a un seul but altruiste. Le simple verre d'eau donné prend une dimension divine et répond au commandement de l'Évangile selon Matthieu 10:42.
Autant le seul outil demeure l'Amour quand on est observateur de détresse, autant le sourire qui résulte de la Paix qui apparait, parfois rarement, mais c'est de capturer cet instant qui nous donne notre dimension dans l'éternité, notre réalité spirituelle.
Quand les épreuves nous aident à apporter la Lumière à l'autre, c'est une réussite. Rien d'écrit dans les médias sociaux ou dans les télévisions... Mais par de simples gestes et intentions que l'on expérimente notre côté Divin.
Je t'aime Maman Mado! xxx
J. Tremblay, 21 octobre 2025
mercredi 15 octobre 2025
dimanche 5 octobre 2025
Yuval Noah Harari
Par Alex Clark
Cas d'étude sur la Manipulation
Éditorial du New York Times, par le comité de rédaction. Étant donné tout le bruit conspirationniste entourant l’affaire Jeffrey Epstein, ...
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Alice au Pays des Merveilles traduit l’angoisse de l’être perdu dans un univers dont aucun élément n’est plus assuré. Le point posé par D...
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Revue de presse, 27 août, - 8 - Par Garrett Graff Historien et finaliste du prix Pulitzer, Garrett Graff a consacré près de vingt ans à la...
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La « théorie du cheval mort » est une métaphore satirique qui reflète la façon dont certaines personnes, institutions ou nations sont conf...










