L’oeil de la Mer est une chose, l’écume en est une autre; laisse là l’écume et regarde avec l’oeil de la Mer.
Jour et nuit, se meuvent les flocons de l’écume qui proviennent de la Mer; tu vois l’écume, non la Mer. Que c’est étrange!
Nous nous heurtons les uns contre les autres, comme des barques; nos yeux sont aveuglés, bien que nous nous trouvions dans l’eau claire.
O toi qui t’es endormi dans le bateau du corps, tu as vu l’eau: contemple l’Eau de l’eau.
L’eau a une Eau qui la pousse, l’esprit a un Esprit qui l’appelle.
Mathnawî, III, 1270 s
jeudi 22 avril 2010
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